jeudi 8 décembre 2011

Surprise, surprise !

Ce matin en allant faire mon petit tour régulier dans les quartiers, j'ai constaté, en arrivant dans le quartier de Pisseleux, qu'il devait y avoir une manifestation à la salle Labouret : le parking était plein, et en plus j'ai vu la voiture du conseiller général et celle du président du conseil général. Voulant savoir ce qui se passait je suis allée voir. 

Quand j'ai vu affiché sur la porte "ma maison dans l'Aisne", je me suis sentie concernée et je suis entrée. Réunis autour de tables disposées en "U", il y avait le président du conseil général, accompagné de deux vice-présidents, du conseiller général local, du maire actuel, de responsables de l'OPAL et de divers élus de l'Aisne.

Il restait deux places, je me suis assise et j'ai écouté. Le but de la matinée était, semble-t-il de présenter le projet de "ma maison dans l'Aisne" pour inciter d'autres communes à se lancer. Et la réalisation de ce projet à Villers, servait aussi, très visiblement de publicité aux ambitions du maire actuel. En oubliant, comme il se doit chez lui, que ce projet avait été initié bien avant lui, en 2006. Et les candidatures lancées dans le numéro 67 du magazine d'informations. Et dès septembre 2006, nous avions plus de candidats que lots à attribuer. Le projet avait pris beaucoup de retard en raison des fouilles archéologiques, comme l'a rappelé la responsable OPAL du projet. 

Ce qui m'a choquée, c'est qu'en plus de n'avoir été ni invitée, ni informée, mais  nous sommes habitués à ces méthodes anti démocratiques, c'est que ce maire actuel se soit permis, le 2 octobre 2010 de m'agresser en me reprochant de n'avoir pas invité le maire socialiste précédent, à l'inauguration de la station d'épuration. Ce qui était faux, comme cet ancien maire l'a confirmé. 

Et lui que fait-il ? Il y a eu, il y a quelques mois, une réception avec les nouveaux habitants de ce quartier de Pisseleux. Nous n'avons été ni informés ni invités. Nous l'avons appris par l'Union. 

Avec ces gens-là c'est toujours le "faites ce que je dis, mais moi je fais ce que je veux". 

Il n'a quand même pas essayé de me faire sortir.... ce qui aurait pu être très amusant. 





1 commentaire:

Fanny a dit…

je ne comprends pas... en quoi étiez vous à votre place ici au milieu de ce qui semblait etre une réunion de travail?
Vous n'aviez à priori aucune légitimité à vous tenir ici... Je trouve votre attitude sans gène, mal polie...
vous n'etes plus multi adjointe me syren!

autre remarque: vos "sondages" permettant de dire ce que l'on pense de l'article sont embétants... on ne peut se prononcer que si l'on aime ce que vous dites...