jeudi 26 avril 2018

VÉRITÉS ALTERNATIVES

C'est sous ce titre que Laurent  JOFFRIN de LIBÉRATION a écrit sa lettre politique.

Dans cette lettre, le journaliste raconte comment une "web-télé"  (Le Média) très proche de la France Insoumise, et qui avait pour objet de renouveler le journalisme en faisant entendre une voix différente de la propagande conformiste distillée par les autres médias.

Sauf que : dans sa haine du gouvernement, cette télé de gauche radicale, a rendu compte de l'évacuation de Tolbiac par la police, en accusant la police d'avoir été très violente au point qu'un jeune serait tombé sur la tête et aurait eu le crâne explosé et dans une marre de sang selon des témoins.

L'ennui, c'est que certains journaux dont Libération ont cherché à en savoir plus.

Personne n'a été hospitalisé en état grave, personne n'a vu la chute, ni d'intervention des pompiers, ni même l'intervention des services municipaux pour nettoyer la chaussée.

On ne trouve plus les témoins, et une jeune femme qui se répandait dans les médias a fini par admettre qu'elle avait menti.

Voilà ce qu'est la nouvelle presse de gauche extrême : raconter n'importe quoi sans vérifier pour nuire.

mercredi 25 avril 2018

lundi 23 avril 2018

INCIVISME versus CIVISME


Des individus qui se prétendent étudiants, saccagent des universités.

Qui va payer les dégâts ? 

D'autres individus vont pique niquer en forêt et laissent tous leurs déchets.

Qui va nettoyer ?























Et puis dimanche matin, dans le parc, un jeune homme ramassait les déchets recyclables laissés par d'autres individus sans éducation.

Toute la différence entre ceux qui respectent les autres et la nature et ceux qui saccagent et salissent


mardi 17 avril 2018

MAYOTTE

Depuis le début de l'année, on nous a parlé d' une crise importante à MAYOTTE qui est un département très pauvre de notre pays.

Le problème majeur provient des autres îles de la région qui ont voulu l'indépendance, mais n'ont rien fait pour améliorer la situation de leurs ressortissants qui viennent en masse pour bénéficier de conditions de vie un peu meilleures.

C'est aussi pourquoi des centaine de femmes font tout pour venir accoucher sur l'île espérant ainsi que leurs enfants deviendront à terme français.

La situation est très difficile à vivre pour les locaux : 84% de la population vit sous le seuil de pauvreté, le chômage est de 27,1%.

Enfin cela dépend desquels car si l'on en croit le rapport de la Cour des Comptes rendu public le 6 avril, il y a beaucoup d'abus parmi les élus de l'île.

Le train de vie du conseil départemental est exorbitant par rapport aux règles de la fonction publique territoriale, pourtant déjà généreuses.

Dans ce département il y a 3 219 emplois pour une population de 256 000 habitants, soit le double d'un département de même taille.

Il y a par exemple 279 agents d'entretien pour 28 000m2 soit un ration de 100m2 par agent!!!

il y a aussi 134 agents d'accueil et 219 gardiens ce qui n'empêche pas d'avoir recours à des prestations extérieures de gardiennage.

Le nombre d'heures de travail est bien moindre que ce qui est prévu dans la fonction publique territoriale et pire encore : en l'absence de contrôle des horaires de travail, le département n'est pas en mesure de rassurer de la présence des agents à leur poste.

Un agent parti à la retraite en octobre 2015 a perçu son salaire intégral jusqu'en mars 2017.

Et tout le reste est à l'avenant.....

Et nous nous payons des impôts  ......


dimanche 15 avril 2018

CONTE DE FÉES

Depuis quelques temps, les médias nous bassinent avec des émissions sur Mai 68.

La grande majorité de ces prétendus journalistes transforment cet épisode en conte de fées pour bambins de maternelle.

Biberonnés dans leurs écoles de journalisme par des enseignants de gauche et d'extrême gauche, ils transforment cette "chienlit" en actes de bravoure.

La plupart également, n'étaient pas nés et colportent donc ces légendes.

Il suffit de voir à quel point nos grands révolutionnaires de l'époque se sont transformés avec les années en conformistes décadents.

En mai 1968, j'étais étudiante et je travaillais parallèlement boulevard Saint Michel, avant de changer de travail.

J'étais donc aux premières loges, et ce que j'ai vu ne m'a pas incitée à y participer. 

Au contraire j'ai toujours mis un point d'honneur à aller travailler, malgré les kilomètres à pied pour ce faire. Ce ne sont pas quelques excités qui pouvaient me dicter ce que j'avais à faire.

J'ai participé à la manifestation du 30 juin pour soutenir le général, et ce que j'ai pu constater ce jour là, c'est la versatilité des journalistes qui se moquaient de nous au début, à la Concorde, et qui petit à petit voyant la foule de plus en plus importante, changeaient leurs discours.

Aujourd'hui l'extrême gauche veut renouveler le même scénario, avec l'aide de casseurs professionnels, mais l'histoire ne se répétera  pas. 

Ce pauvre riche monsieur Mélenchon, qui ne digère toujours pas de n'avoir pas passé le premier tour des élections présidentielles, essaie de toutes ses forces, mais qui peut croire ses diatribes ? Il ne vaut pas mieux que sa collègue d'extrême droite.

Je ne crois pas que le slogan de l'époque "Il est interdit d'interdire" ait fait du bien à notre pays. Bien au contraire.

Heureusement que la grande majorité de la nouvelle génération étudie et travaille et ne suit pas. Ce sont eux l'avenir de notre pays.





lundi 9 avril 2018

PRIVILÉGIÉS ?

Les cheminots refusent la qualification de "privilégiés".

Et pourtant :

Ils font grève sans risquer leur emploi, et en plus ils sont payés pour faire grève !!!!

Il semble que les syndicats récoltent de l'argent pour payer les grévistes.

Pourquoi se gêner ?

Qu'importent ceux qui perdent du salaire dû aux retards.

Qu'importent les entreprises qui sont pénalisées par le manque de transports.

Tant que des personnes qui ne risquent rien peuvent tout se permettre, pourquoi ne continureaient-elles pas? Elles ne risquent rien. 

À LILLE, ce matin,  ils ont même voulu empêcher les cars de substitution de fonctionner.

Ils veulent empêcher les citoyens d'aller travailler. Citoyens qui n'ont pas comme eux tous les droits.

Il ne faut surtout pas que le gouvernement cède, comme les précédents, car sinon il n'y aura pas de limites aux exigences de ces individus.

Le droit de grève existe, mais le droit d'aller travailler aussi, ainsi que le droit aux transports.

jeudi 5 avril 2018

PROTÉGER NOTRE FORÊT

À chaque fois que je monte en forêt en ce moment, je suis horrifiée par le saccage qui s'y passe.

On a l'impression que l'on coupe, coupe tellement qu'il n'y a pratiquement plus de gros arbres.

De ceux qui ont mis des dizaines d'années et même plus à pousser.

De tous les côtés, des arbres abattus sur le bord de la route de Chaligny et même dans les fossés, baignant dans l'eau.

Pourtant notre forêt est un rempart contre le réchauffement climatique.

Une étude publiée dans NATURE démontre que les forêts ne se contenteraient pas seulement de nous enrichir en oxygène, elles permettraient aussi de réguler les températures atmosphériques.

"Les arbres et les plantes émettent des gaz naturels, qu'on appelle composés organiques volatiles biotiques (COVB) qui réagissent et s'accolent à d'autres gaz déjà présents dans l'atmosphère.

Ils ont un impact direct sur les températures atmosphériques du fait de leur rôle dans la formation des aérosols, du méthane et de l'ozone.)"

Cette étude menée par des chercheurs de l'Université de Leeds, leur a permis de découvrir les effets rafraîchissants ayant un effet global sur notre climat.

Le problème c'est la mutilation massive de ces espaces verts qui cause d'énormes dommages
à l'émission des ce gaz rafraîchissants.

On considère que 14% du réchauffement climatique provient de la déforestation.

Alors quand je constate le carnage en forêt de Villers, cela m'inquiète pour les générations futures.

BRADERIE

Samedi 7 avril va avoir lieu la traditionnelle braderie de printemps de la CROIX ROUGE, au marché couvert à partir de 9 heures.

Des milliers d'articles à des prix défiant toute concurrence.

On nous annonce du beau temps, espérons que pour une fois ce soit exact, car ce matin encore, sur le site de Météo France, il faisait beau sur Villers.

Mais à peine arrivée dans le parc, des gouttes se sont mises à tomber et la pluie a continué presque jusqu'à Malva.

De nouveau de la boue presque partout et le débardage du bois n'arrange rien; bien au contraire.