TRADITION

C'est de tradition en chaque début d'année, de souhaiter le meilleur à toutes et tous ceux qui nous entourent, et n'ayons pas peur de le dire, à la terre entière.

Paix, santé, prospérité sont les mots qui reviennent le plus souvent. Et ce serait si bien si tout cela pouvait arriver, comme par un coup de baguette magique.

En réalité le monde est ce que nous en faisons. Mais à notre échelle nous pouvons agir, pour l'améliorer.

À commencer par plus de courtoisie dans les rapports humains.

Par exemple ce n'est pas parce que l'on ne partage pas les mêmes convictions, que certains doivent en oublier jusqu'aux simples règles de politesse. Un salut n'est pas acquiescer aux idées de l'autre. C'est une simple règle du bien vivre ensemble. 

Je viens de lire les vœux très décapants d'une chef d'entreprise, qui souhaite entre autres, que l'on supprime les causes de ses "exaspérations quotidiennes", et souhaite : "que tous ceux qui manient la faute de français avec plus de talent que la transmission de l'information dans les médias audiovisuels soient privés d'antenne", (en particulier la règle des participes, qui est très souvent allègrement ignorée)".

Avouez que cela serait un bon changement. À mettre dans les bonnes résolutions de nouvelle année. En souhaitant que cette résolution soit tenue.

Petit miracle de fin d'année 2012 : comme vous avez pu le lire dans un autre blog, le maire actuel s'est enfin décidé à ne faire qu'une seule cérémonie de vœux, pour la ville et pour la communauté de communes, comme nous l'avions souvent suggéré, y compris dans la tribune de janvier 2013, qu'il a reçue le 10 décembre, et que vous lirez .... un jour prochain, sans doute.

Mais n'exagérons rien, son subit goût pour les économies n'est pas allé jusqu'à ne faire qu'un seul carton d'invitation. Deux cartons de vœux et deux cartons d'invitation (le même), envoyés en deux fois. 

Pas très écolo-responsable pour une ville ISO 10 001.

Sans doute ne faut-il pas lui en demander trop...

Ah si, je souhaite que cette année, enfin, il cesse de rendre les membres du personnel, responsables de ses fautes. Ce serait un vrai changement... On peut toujours rêver...