lundi 28 janvier 2013

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"Louer son ventre pour faire un enfant, ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ?

Voilà comment un éminent soutien de la gauche la plus "bobo" parle pour soutenir la procréation pour autrui. ( P.Bergé le 16 décembre dernier). Je ne l'ai appris qu'aujourd'hui .... Vous pouvez vérifier, la citation n'est pas tronquée.

Bizarrement (?), les journaux politiquement bien pensants n'en n'ont pas parlé ..... Pourquoi ?

C'est pourtant choquant de vouloir transformer un enfant en marchandise, et le ventre d'une femme également. Somme toute, ceux qui auront de l'argent pourront se payer un enfant et les autres pas. 

Mais cela ne choque aucunement tous ces donneurs de leçons, qui se sont retrouvés auprès de ce même
individu pour une soirée, entre gens bien pensants. 

À la porte la plèbe ....

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J’ai, moi aussi, été révoltée par les propos de Monsieur Pierre BERGÉ.

Imaginez le tollé qu'auraient soulevé de tels propos s'ils avaient été tenus par une personnalité "classée à droite".

La gauche bien-pensante aurait exigé des excuses et toutes les associations de défense des droits de l'homme auraient traîné ce phallocrate devant les tribunaux.

Là, rien, silence radio…sauf dans le Figaro (quotidien et magazine).

Personne à gauche n’a relevé.

Madame BABINTER, une fois de plus aux abonné(e)s absent(e)s, comme aux grandes heures de l’affaire DSK/Nafissatou DIALLO.

Les journalistes, d’ordinaire si prompts à s’indigner, n’ont rien dit. C’est vrai que pour la plupart d’entre eux leur cœur bat à gauche, et puis il ne faut pas se fâcher avec le camp que l’on a fait élire, de peur de perdre l’abattement de7.650 euros sur ses revenus imposables. (D’ailleurs, en Novembre dernier, le Sénat, maintenant à gauche, a rejeté une série d'amendements visant à la suppression de l'abattement fiscal des journalistes).

Dans cette déclaration de Pierre BERGÉ, il y a, en effet, tout le mépris de cet homme pour les femmes et le bas peuple.

Quant à nous, femmes et hommes du bas peuple, gardons-nous bien de mépriser Monsieur BERGÉ, et faisons nôtre la citation de Chateaubriand : « Il faut être avare de son mépris, vu le grand nombre de nécessiteux ».