jeudi 14 octobre 2010

Pas d'intérêt ?

Le 22 septembre dernier, j'avais écrit au maire actuel, voir mon message du 27 septembre, à propos de la vente de l'immeuble qui fait l'angle de la rue de l'Hôtel de Ville et de la rue du Général Mangin, par une de ses adjointes et par le fils d'un autre adjoint, en lui demandant des explications.

J'ai reçu une réponse hier, totalement insatisfaisante. Il m'informe qu'il ne pouvait préempter ce fonds de commerce, puisqu'il n'y a pas eu de DIA (déclaration d'intention d'aliéner) pour le commerce, et que par ailleurs la ville n'ayant pas de projet particulier, il n'avait aucune raison de préempter l'immeuble.

S'il n'y a pas eu de DIA pour le commerce, il y en a eu une pour l'immeuble, et à la suite des déclarations tonitruantes du maire actuel et de son adjoint au commerce, pour dynamiser le commerce, que nous aurions détruit, on pouvait légitimement espérer que tout soit mis en oeuvre pour y parvenir, et donc à récupérer cet immeuble ou au moins une partie.

Que nenni, une fois de plus, il ne s'agissait que de mots et de grandes phrases dont ils ont coutume de se gargariser, mais des actes nous n'en voyons point. Pour le démontrer, il suffit de relire les rodomontades de l'adjoint au commerce dans le mensuel de propagande de la ville, le numéro 13, il y a un peu plus d'un an, et de les comparer à ses réponses à l'Union du 24 septembre. On devait voir ce qu'on devait voir, et on n'a rien vu.

C'est même pire, puisque qu'un emplacement de qualité est délaissé au profit financier de copains.

Reverrons-nous un jour un vrai commerce dans ce lieu, je ne parle pas d'agence immobilière,  mais d'un vrai commerce, dont la ville aurait bien besoin.

Une fois de plus ces élus actuels, privilégient les intérêts particuliers de leurs amis, au lieu de l'intérêt général de la ville ....

Petite anecdote pour rire: en rentrant du marché, je vois des tracts sur des véhicules. Je me penche pour lire, et que vois-je ? Une magnifique faute qui me saute aux yeux. Je pestais toute seule contre cette faute, et deux lycéens, qui lisaient ce tract, m'ont entendue. Ils n'avaient pas vu la faute et m'ont appelée pour me demander où j'avais bien pu voir une faute. Même en leur mettant le doigt dessus ils étaient dubitatifs. Encore deux qu'il faudra remettre à niveau à l'entrée en fac.....

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