On entend beaucoup parler de révolution en ce moment. Nos coupeurs de têtes institutionnels ne font que suivre la voie de F.MITTERAND, qui a autorisé de nombreuses exécutions, pendant qu'il était ministre de la justice. Au moins une quarantaine d'exécutions de nationalistes algériens.
En 1981, il y eut la remarque de M.QUILES, député P.S. qui affirmait en parlant de journalistes pas assez serviles : il ne suffit pas de dire qu'il faut faire tomber des têtes, il faut le faire et dire lesquelles rapidement. C'était dans la droite ligne de son chef.
Les journalistes si prompts à dénoncer les moindres faits et gestes du président actuel ont montré une amnésie totale en ce qui concerne les actes les plus inavouables de ce président là.
Un livre vient de sortir sur cette période de la guerre d'Algérie qui revient sur cette page de la vie de ce président, qu'il a préféré occulter. Après VICHY, et la francisque, que l'on connaît un peu mieux, on découvre cet homme, rongé par l'ambition et prêt à tout pour être président.
On nous dit que c'est lui qui a fait abolir la peine de mort, mais en réalité c'est l'oeuvre de M.BADINTER.
Sans lui, il est peu probable qu'une telle loi n'aurait pas vu le jour avant plusieurs années.
Viscéralement anti peine de mort, quand j'entends des gens parler de tout casser et se référer à 1789, je me dis qu'ils n'ont rien compris au sens de l'existence.
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