Hier, après la journée de formation sur les cimetières, je suis allée à la traditionnelle réception des enseignants, qui avait lieu à la Maison du Parc, au lieu de l'habituelle salle Labouret.
L'avantage, c'est que le même nombre de participants, paraissait beaucoup plus important puisque la salle est très nettement plus petite.
Le nombre d'enseignants retraités était également nettement plus important que celui des enseignants en activité.
Discours habituel, pour saluer les nouveaux arrivants, sur les travaux, sur le soutien de la Ville.
Par contre aucune allusion sur le fait que de très nombreux élèves ne maîtrisent pas l'orthographe, y compris à l'entrée en faculté. Selon le Haut Conseil de l'éducation, dans un rapport rendu le 1er octobre, un collégien sur 5, soit 150 000 par an) sait à peine lire et compter en sortant du collège.
A quoi cela est-il dû? Je suppose que les raisons en sont multiples, mais s'il y a bien un dossier à traiter en priorité c'est bien celui-là, et sans les habituelles récriminations sectorielles.
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