Mais seuls deux candidats ont été consultés.
Annick VENET, maire de VAILLY et Yves DAUDIGNY, président du Conseil Général.
Yves DAUDIGNY comme les autre candidats, en oublie son étiquette politique pour ne devenir qu'un élu de terrain.
Si on les lit tous attentivement, il n'est pas question de politique nationale. La droite et la gauche çà n'existe pas. L'État représente tout ce que disent-ils, ils ne sont pas.
Eux sont là pour nous défendre contre la bureaucratie et les diktats venus d'en haut.
C'est assez amusant, de voir qu'ils deviennent tous centristes le temps de quelques réunions pour nous convaincre de voter pour eux. Oui ce serait amusant, si ce n'était pas aussi triste. Comment démêler dans leurs paroles lénifiantes, le bon grain de l'ivraie.
Enfin nous saurons dimanche soir, qui a le mieux convaincu.
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