jeudi 15 janvier 2015

Et maintenant ?

Et maintenant, que faire ?

Ces assassins, dont je me refuse à citer le nom, étaient français, si j'ai bien compris. 

Élevés en France, dans des écoles françaises. 

Comment fait-on maintenant pour reconnaître "le bon grain de l'ivraie" ?

S'il est impératif d'éviter les amalgames, il ne faut pas non plus retomber dans le piège de l'angélisme.

Le premier ministre nous dit que nous sommes "en guerre", mais comment combattre un ennemi que l'on ne peut clairement identifier.

Des individus prétendant agir au nom d'Allah, mais qui ne sont que de vulgaires assassins, qui tirent sur une femme, dans le dos, simplement car elle porte un uniforme.

Personnellement, plutôt que les grandes manifestations et les grandes déclarations, je crois que c'est en continuant à vivre notre vie normalement, que nous démontrerons le mieux que nous n'avons pas peur.

Et je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée particulièrement pour mes amis musulmans.

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