mardi 7 octobre 2014

NOBEL

Plusieurs lauréats du Nobel souhaitaient profiter de la tribune qui est leur donnée à l'occasion de la remise de ces prestigieux prix, pour tirer la sonnette d'alarme sur l'état de notre terre.

Ils avaient prévus de se réunir à HONG KONG à partir de demain, mais malheureusement, en raison des troubles politiques, cette manifestation a été annulée hier, selon l'information donnée par Good Planet Info.

Ces Nobel, principalement des scientifiques devaient se pencher pendant plusieurs jours sur la hausse probable des températures de plus de 4° d'ici à la fin du siècle.

Nous sommes en train de déduire notre planète, en vivant au-dessus de nos moyens. 

Selon le rapport du WWF de 2014, actuellement nous consommons 50% de ressources naturelles de plus que ce que la planète est capable de régénérer.

Selon ces scientifiques l'énergie serait une priorité. Il faut remplacer au plus vite les énergies fossiles par des ressources plus propres et des technologies nouvelles dont, étape cruciale, les pays émergents doivent aussi bénéficier.

Cet été et ce début d'automne nous voyons des inondations répétées, des catastrophes climatiques qui devraient nous inciter à prendre les choses en mains, nous-mêmes, à la base.

Il faut inciter chacun dans nos entourages à réfléchir et à comprendre les enjeux qui nous attendent, si nous voulons que notre planète continue à exister.

En 40 ans 39% des espèces terrestres ont disparu, idem pour les espèces maritimes, et c'est encore pire pour les espèces d'eau douce : 76%. 

Vous avez sans doute vu ces malheureux morses échoués, 35 000 sur une plage d'Alaska. En cause la fonte des glaces de l'Arctique en raison du réchauffement climatique.

En 20103 22 millions de personnes ont été contraintes d'abandonner leur habitation en raison des catastrophes naturelles. Mais en réalité la majorité de ces catastrophes n'ont de naturelles que le nom, car elles davantage d'origine humaine selon le rapport de l'infernal Displacement Monitoring Center.

Il nous reste si peu de temps pour enrayer ce désastre programmé par nous-mêmes.

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