L'année dernière, une fois qu'il a été possible à nouveau d'aller dans le parc, on ne peut pas dire que la période a été trop pénible pour nous.
Retraités, les contraintes étaient plus facilement acceptables que pour toutes celles et tous ceux qui devaient faire travailler les enfants à la maison tout en télé travaillant pour certains.
Le plus difficile a été de ne pouvoir voir les enfants régulièrement.
Le plus inquiétant ce sont les conséquences professionnelles des entreprises et des indépendants, qui malgré les aides de l'État sont en grandes difficultés.
Actuellement nous sommes seulement sous régime de couvre feu, ce qui me semble un moindre mal.
À nous de respecter les consignes de sécurité. Il n'en va pas que de nous, mais aussi de protéger tous nos concitoyens et aussi, et surtout nos services de santé et toutes les équipes médicales qui sont épuisées par cette épidémie.
C'est vrai que c'est pénible de ne pouvoir aller au cinéma, voir des amis, aller au restaurant etc... Mais qu'est-ce que quelques mois de privations face à la santé et la mort de milliers.
On entend parfois que cette année 2020 a été la pire qui soit et qu'une génération est sacrifiée.
C'est une réaction d'enfants gâtés : qu'on se souvienne de la génération de ceux qui avaient 20 ans au cours de la première guerre .
Quand j'ai tendance à me lamenter, je repense à un grand oncle qui avait combattu au Fort de Douaumont. Ce qu'ils ont vécu était bien pire que ce que nous pouvons imaginer.
Alors soyons responsables et optimistes. Nous allons nous en sortir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire