lundi 3 avril 2017

CHÂTEAU suite

Samedi il a brièvement été question de la position d'un candidat à l'élection présidentielle sur l'avenir de notre château.

J'ai cherché ce texte et ne l'ayant pas trouvé, j'ai envoyé un message à l'assistante parlementaire du député actuel, qui soutient le candidat en question.

La réponse m'est parvenue ce matin, elle se trouve dans le discours que le candidat a tenu à Reims, après être passé par Villers, et dont on m'a transmis le texte.

Page 10, au 3ème paragraphe, le candidat dit : "Et c'est ce qui fait que la France a toujours été elle-même en débordant d'elle-même, à travers les territoires où elle a porté le français et à travers la francophonie qui est aussi le cœur de cette mission et la vocation française, la vocation de notre culture et de notre projet. La francophonie, c'est la France portée au-delà de la France par des femmes et des hommes qui ont décidé d'en être. La semaine prochaine, nous célébrerons la francophonie. Et là aussi, ça n'était pas un hasard de passer par Villers-Cotterêts. Cette francophonie, elle réconcilie des continents. Et le beau château abandonné de François 1er aura une vocation dans la francophonie française . Je veux ici m'engager à ce que nous portions ce projet, cher Jean-Jacques (Aillagon), porté quand tu étais ministre de la Culture, commencé à ce moment, qui est de redonner à ce château ce que son histoire porte en elle. De le rouvrir, mais de le rouvrir en lui faisant porter ce qui est sa vocation : la langue française dans tout ce qu'elle emporte. Et d'en faire l'un des piliers symboliques de notre francophonie.

Tout l'ensemble du discours du candidat est intéressant, et de très haute tenue.

Son problème, à mon avis, est qu'il est très cultivé et que tous les électeurs ne comprennent pas ses références et son langage tellement éloigné des discours de prétoires habituels.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je cite les paroles du candidat des élites progressistes :
"Cette francophonie, elle réconcilie..."
Le candidat, IL devrait apprendre à parler français...surtout lorsqu'il pérore sur l'Ordonnance de Villers-Cotterêts.

Pauvre freluquet!