vendredi 15 février 2019

RACISME ANTI JUIF

Il parait inconcevable qu'à notre époque il puisse encore et encore y avoir ces manifestations d' anti sémitisme comme ce que nous pouvons constater en ce moment.


Que l'on ose faire des croix gammée sur des portraits de Simone Veil, couper des arbres en hommage à un jeune assassiné, car juif, taguer un magasin car supposé tenu par des personnes de confession juive, profaner des cimetières, nous ramène à une autre époque que l'on aurait pensée disparue à jamais.


Le pis étant que les derniers témoins de ces atrocités ont maintenant presque tous disparu et qu'il sera plus facile de nier la véracité de leurs propos.

Et pourtant : voir un numéro tatoué sur le bras d'une dame âgée, croyez-moi, cela donne envie de pleurer.

La violence et la haine véhiculées chaque samedi semblent permettre tous les excès et montrent bien que ces personnes veulent détruire notre démocratie.


Pour la remplacer par quoi ?



Rien ne justifie d'agir ainsi et les élus des extrêmes qui ne condamnent pas ces faits très graves sont tout autant coupables que leurs auteurs.



"Le bulletin de vote est plus fort qu'une balle de fusil" Abraham Lincoln





1 commentaire:

Anonyme a dit…

Vous oubliez que les manifestations du samedi véhiculent également, l'homophobie, le racisme, le sexisme et comme le résume si bien BHL : le mouvement des gilets-jaunes est une jacquerie d’extrême-droite, une revendication populiste qui sent la chemise brune, c'est un mouvement qui put le facho.

Je suis encore étonné que l'on n'ait pas pas encore rendu les GJ responsables du réchauffement climatique, mais vu le soleil radieux de ces derniers jours, cela ne devrait pas tarder.

Mais où est donc passer le "Pas d'amalgame" ?

J'oubliais, et merci à votre chronique du 11/02 de m'y faire penser, que parmi les GJ se trouve une majorité de crétins complotistes, dont le QI moyen avoisine celui d'un acarien.

Et oui, classe laborieuse, classe dangereuse et pour reprendre la si jolie sortie de Jean Quatremer "Le peuple qui souffre, mais qu'il est con...!"