lundi 27 mars 2017

CABINET NOIR OU PAS ...

Qu'il existe ou pas, personne ne doute des tentatives de déstabilisation de tel ou tel adversaire politique.

Mitterand s'en était fait une spécialité.

Quand on constate que des documents de procédure se retrouvent sur la place publique en quelques heures. 

Que d'autres impliquant des enfants d'opposants sont transmis aussitôt, comme l'atteste la présidente de la région Ile-de-France, qui dépose plainte pour violation du secret de l'enquête et violation du secret professionnel.

Quand on constate l'inquisition dont sont l'objet des élus qui ne sont pas de gauche, on ne peut qu'être assuré que ce cabinet noir, rouge ou vert existe bien.

Au passage on notera que tous ces manquements sont  à l'encontre de personnalités de l'opposition actuelle pour être exploités politiquement par des éminences de la majorité (?) actuelle. 

Des élus ont demandé l'ouverture d'une enquête au procureur général et au parquet financier, nous verrons ce qu'il en résultera.

La lecture du premier rapport annuel de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement vous montrera tout ce que ses agents peuvent faire pour entrer dans notre vie privée. 

En 2016, 20 282 personnes ont été espionnées alors quelques opposants de plus ou moins, cela n'aurait pas dû se savoir.

Et lequel de ces agents irait refuser quelque chose à un président ?

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