dimanche 15 avril 2018

CONTE DE FÉES

Depuis quelques temps, les médias nous bassinent avec des émissions sur Mai 68.

La grande majorité de ces prétendus journalistes transforment cet épisode en conte de fées pour bambins de maternelle.

Biberonnés dans leurs écoles de journalisme par des enseignants de gauche et d'extrême gauche, ils transforment cette "chienlit" en actes de bravoure.

La plupart également, n'étaient pas nés et colportent donc ces légendes.

Il suffit de voir à quel point nos grands révolutionnaires de l'époque se sont transformés avec les années en conformistes décadents.

En mai 1968, j'étais étudiante et je travaillais parallèlement boulevard Saint Michel, avant de changer de travail.

J'étais donc aux premières loges, et ce que j'ai vu ne m'a pas incitée à y participer. 

Au contraire j'ai toujours mis un point d'honneur à aller travailler, malgré les kilomètres à pied pour ce faire. Ce ne sont pas quelques excités qui pouvaient me dicter ce que j'avais à faire.

J'ai participé à la manifestation du 30 juin pour soutenir le général, et ce que j'ai pu constater ce jour là, c'est la versatilité des journalistes qui se moquaient de nous au début, à la Concorde, et qui petit à petit voyant la foule de plus en plus importante, changeaient leurs discours.

Aujourd'hui l'extrême gauche veut renouveler le même scénario, avec l'aide de casseurs professionnels, mais l'histoire ne se répétera  pas. 

Ce pauvre riche monsieur Mélenchon, qui ne digère toujours pas de n'avoir pas passé le premier tour des élections présidentielles, essaie de toutes ses forces, mais qui peut croire ses diatribes ? Il ne vaut pas mieux que sa collègue d'extrême droite.

Je ne crois pas que le slogan de l'époque "Il est interdit d'interdire" ait fait du bien à notre pays. Bien au contraire.

Heureusement que la grande majorité de la nouvelle génération étudie et travaille et ne suit pas. Ce sont eux l'avenir de notre pays.





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