mercredi 13 janvier 2016

DIRE OU NE PAS DIRE

On découvre avec plusieurs jours de retard les agressions dont ont été victimes des femmes en Allemagne.

Il fallait éviter de dire que les agresseurs étaient des personnes entrées dans le pays comme réfugiés.

Finalement, on découvre maintenant que des faits identiques se sont déroulés en Suede, dont certains remontant à 2014. Et également en Autriche.

Les autorités gênées ne savaient comment aborder le sujet, tant la question des réfugiés devient sensible.

Il me semble que le pire est de cacher ces évènements, d'une part car les victimes doivent être reconnues comme telles, et d'autre part car il faut rechercher les auteurs, d'où qu'ils viennent.

Qu'il y ait de tels individus parmi la masse des personnes réfugiées ne signifie pas que tous soient coupables.

Mais il faut expulser rapidement les individus capables de telles agressions, et bien faire comprendre que dans nos pays, les femmes doivent être respectées.

Tout comme il est évident que des terroristes peuvent se glisser parmi les réfugiés, combien d'individus douteux peuvent le faire également.

Tous ces hommes qui préfèrent fuir au lieu de se battre pour la liberté dans leur pays cela ne démontre pas un grand courage, surtout lorsqu'on apprend que les femmes avec des enfants sont restées dans le danger.

Les autorités sont tétanisées à l'idée de devoir dire les choses. Leur "il ne faut pas faire d'amalgame" ne tient pas.

Dire les choses ce n'est pas stigmatiser un peuple ou une religion c'est simplement reconnaître des faits, aussi désagréables soient-ils.

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