DÉLIRANT

La Cour des comptes a publié un rapport, au vitriol, sur Radio France.

Ce rapport dénonce les conditions de travail plus que favorables au sein des radios publiques.

Par exemple : les salariés ont jusqu'à 56,5 jours de congés par an pour les personnels techniques et administratifs, et surtout jusqu'à 68 jours pour les journalistes.

Ces congés ne sont pas toujours déclarés dans leur "exhaustivité".

Les journalistes travaillent avec des rythmes atypiques "Cela aboutit à pourvoir un poste par au moins deux voire trois personnes". 

Les musiciens  travaillent en moyenne 700 heures par an très loin des 1 100 heures prévues par la convention collective. "Ce sous-emploi chronique n'empêche pas le recours à des remplacements externes (1,4 millions d'euros en 2013) et le paiement d'heures supplémentaires" selon la Cour.

Ce n'est qu'un petit exemple de la gabegie qui règne dans cet établissement.

Et pour couronner le tout ; "la menace de grève ou les grèves effectives sont une donnée centrale de la négociation collective"  "les grèves constituent une préoccupation permanente de la direction, en raison de leur impact sur les chiffres d'audience et sur l'image extérieure de l'entreprise".

"l'issue de ces conflits est généralement l'octroi de mesures catégorielles : primes spéciales, avancements garantis ...".

Il serait temps de mettre un grand coup de balai  à Radio France.

Mais il est peu probable que ce gouvernement le fera, les journalistes de ces radios étant les perroquets de la gauche.