Donc c'est le drame, l'équipe de football a perdu hier soir, déjouant ainsi tous les pronostics.
Devant la forme d'hystérie qui s'était emparée de nombreux Français, et à laquelle les médias ont largement participé, je suis restée perplexe.
Pour connaître ce qui se passait dans le monde, je devais regarder la BBC ou CNN.
Et pas besoin de regarder le match, hier soir comme jeudi pour connaître le résultat : le bruit de la rue à chaque but était suffisant.
Hier calme plat.
Matin, midi et soir il n'était question que de foot. Une véritable overdose. Sans doute me manque-t'il le gène du foot qui me permettrait de trouver un intérêt à ce jeu.
La seule chose positive, c'est que ces joueurs paraissaient sympathiques.
Mais bon, que le moral des Français soit fonction d'un jeu de ballon, cela me dépasse. Cela fait partie de ces choses ou évènements dont je constate l'existence sans les comprendre.
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